"La jeune Musette aime le plaisir, sa liberté, la vie qu’elle croque à belles dents, désinvolte, mutine, mais sensible, attachante, généreuse. Fine musicienne et excellente comédienne, Gabrielle Philiponet excelle dans ce rôle, qu’elle reprendra à Massy en mars prochain. L’émission est sonore, chaleureuse, riche en couleurs, agile, avec des graves solides associés à la légèreté des aigus. C’est au dernier acte qu’elle se montre sous son meilleur jour, vocalement et dramatiquement. A suivre..."
Yvan Beuvard pour Forumopera.com
"Gabrielle Philiponet was a good choice for Musette, she has the elegant personality need for that role and sung wonderful, looked and sung great in the second act. Her cooperation with Régis Mengus was excellent, specially in the hysterical part in 3. act..."
Henning Høholt pour Kulturkompasset.com
"...Musette, la jeune effrontée, l’audacieuse, sincère dans son amour pour Marcel, mais frivole, Gabrielle Philiponet, a séduit Alcindor, qui l’entretient, mais surtout le public. Ses qualités vocales et scéniques sont extraordinaires. A l’aise dans tous les registres, une voix sonore, agile, que ce soit dans sa valse « Quando me’n vo’ soletta » où elle s’envoie en l’air –sur une balancelle- ou dans ses récitatifs, une grande pointure que l’on retrouvera avec bonheur à Massy, dans le même rôle en mars 2018..."
Albert Dacheux pour Classiquenews.com
« Toute aussi habile, le soprano Gabrielle Philiponet (Musetta) se balance telle une vedette de cinéma suspendue dans les airs et offre une superbe projection au lyrisme de la valse. De mieux en mieux, sa mélopée à l'orée du III et la ferveur de son soutien à Mimi en fin de vie (IV) sont les signes de la révélation du personnage. Suivant avec une foi fondamentale l'émouvante Musetta, le spectateur prend rendez-vous avec la séparation et avec la mort. »
François Cavaillès pour Anaclase.com
"La Musetta de Gabrielle Philiponet (à retrouver pour L'Élixir d'amour à Nice) emplit aisément la salle à l'italienne de sa voix et de son énergie. Montant sur une balancelle et dans des aigus perçants, elle balaye avec application les longues lignes parcourant son ambitus, devant le ballet en carton pâte d'une femme nue chevauchant Pégase et d'une lune à moustache. Se plaignant de sa chaussure trop étroite, elle maîtrise ses effets vocaux et sait transformer un cri de douleur en chant, et réciproquement."
Charles Arden pour Olyrix.com
« ... Gabrielle Philiponet est une formidable Musetta, fraîche, vive, et pleine de chic dans son costume d’entrée, qui n’a pas nécessité beaucoup de tissu pour sa fabrication... »
Catherine Scholler pour Opéra Magazine
« ...Après son Antonia (Les Contes d’Hoffmann) toulonnaise ou sa Caroline (La Chauve-Souris) avignonnaise, Gabrielle Philiponet confirme qu’elle a tous les atouts dans sa voix pour faire une belle carrière dans le répertoire de soprano lyrique : qualité du timbre, homogénéité de l’émission, facilité dans l’aigu, aisance dans les vocalises… auxquelles s’ajoutent une présence scénique particulièrement séduisante... »
Emmanuel Andrieux pour Opera-online.com
« ... Gabrielle Philiponet offre une Adina vive, pétillante, avec une voix longue et une belle facilité, tant dans les aigus que dans les traits d’agilité... »
Catherine Scholler pour Opéra Magazine