Lalla-Roukh, F. David, Wexford Festival 2022


« Vedette de la soirée dans ce qui fut assurément l'opéra vedette du Festival, Gabrielle Philiponet a interprété à merveille le rôle de Lalla-Roukh. Avoir un chanteur français natif a aidé, mais il y a un type particulier d'énonciation et d'expression requis pour ce genre d'opéra-comique et Philiponet était parfaite pour cela, aidant à conserver une grande partie du caractère original de l'opéra de Félicien David. »

 

« The star of the evening in what was definitely the star opera of the Festival, Gabrielle Philiponet sang the role of Lalla-Roukh wonderfully. Having a native French singer helped, but there is a particular kind of enunciation and expression required for this kind of opéra-comique and Philiponet was perfect for this, helping retain much of the original character of Félicien David's opera. »

 

Noel Megahey, Opera Journal
 

« Dans le rôle-titre, la soprano française Gabrielle Philiponet a capturé le côté indépendant de la princesse ainsi que son raffinement, sa soprano brillante rayonnante sur les registres est d'une précision inébranlable. "O nuit d'amour" de Lalla-Roukh au début de l'acte 2 était ravissant, et le frisson joyeux de l'air final de la princesse et du duo final des amoureux était tout à fait gagnant. »

 

« In the title role, the French soprano Gabrielle Philiponet captured the princess’s independent streak as well as her refinement, her shining soprano glowing across the registers and unwaveringly precise.  Lalla-Roukh’s ‘O nuit d’amour’ at the start of Act 2 was ravishing, and the joyful thrill of both the princess’s final aria and the lovers’ closing duet was utterly winning. »

 

Claire Seymour, Opera Today

 

« C’est à la soprano française Gabrielle Philiponet que revient le rôle-titre. Elle déploie un chant stylé, riche de couleurs diverses et fait preuve d’une très grande sensibilité. Son air au début de deuxième acte « Nuit d’amour » est un splendide moment de chant »

 

Jules Cavalié, Avant-Scene Opéra

 

« Dans le rôle-titre se trouvait la soprano française Gabrielle Philiponet, qui a impressionné par sa beauté tonale ainsi que par l'élégance et la grâce avec lesquelles elle a pu énoncer ses lignes, ce qui, bien sûr, a été aidé par le chant dans sa langue maternelle. Bien qu'elle ait donné l'apparence d'être sage, chaste et raffinée, elle n'était pas une violette timide. En fait, elle était assez fougueuse et déterminée, même prête à manier une épée pour sa propre défense si besoin était, ce qu'elle soutenait avec un phrasé intelligent fourni avec des accents dynamiques et émotionnels agréables. Elle a également démontré sa sensibilité et son habileté à créer des lignes délicatement moulées d'une beauté exquise dans l'air bien connu "Sous le feuillage sombre". »

 

« In the title role was the French soprano Gabrielle Philiponet, who impressed with her tonal beauty as well as with the elegance and grace with which she was able to enunciate her lines, which, of course, was helped by singing in her native language. Although she gave the appearance of being demure, chaste and refined, she was no shrinking violet. In fact, she was quite feisty and determined, even prepared to wield a sword in her own defense if need be, which she supported with intelligent phrasing furnished with pleasing dynamic and emotional accents. She also demonstrated her sensitivity and skill in crafting gently moulded lines of exquisite beauty in the well-known aria “Sous le feuillage sombre.” »

 

Alan Neilson, Opera Wire

 

« La soprano Gabrielle Philiponet se révèle une protagoniste brillante, son personnage plein d'énergie urgente et magnifiquement chanté »

 

« Soprano Gabrielle Philiponet proves a brilliant protagonist, her character full of urgent energy and sung beautifully »

 

Michael Lee, Golden Plec

 

« Les voix étaient fabuleuses. Gabrielle Philiponet, une soprano lyrique française, a chanté Lalla-Roukh. La musique de David était un test de gamme. Philiponet était impeccable. Et, suffisamment entêtée et gamine pour être un garçon manqué convaincant, mais jamais exagéré. »

 

« Voices were fabulous. Gabrielle Philiponet, a French lyric soprano, sang Lalla-Roukh. David’s music was range testing. Philiponet was flawless. And, sufficiently self-willed and gamine to be a convincing tomboy, but never over the top. »

 

Gerald Malone, reaction.life

 

« Celles-ci ont les visages et les voix de la soprano Gabrielle Philiponet, timbre persuasif et chant tout en rondeur, décisif et délicat comme le rôle l'exige »

 

« Estos tienen los rostros y las voces de la soprano Gabrielle Philiponet, de timbre persuasivo y redondez de canto, decidido y delicado como lo requiere el papel »

 

Roberta Pedrotti, Pro Opera

 

« Questi hanno i volti e le voci del soprano Gabrielle Philiponet, timbro suadente e canto ben tornito, decisa e delicata come il ruolo richiede »

 

Roberta Pedrotti, Ape Musicale

 

« Gabrielle Philiponet s'est avérée idéale dans le rôle de Lalla-Roukh, sa soprano de haut vol et typiquement gauloise pleine de chaleur et de charme »

 

« Gabrielle Philiponet proved ideal as Lalla-Roukh, her high-flying and characteristically Gallic soprano full of warmth and charm »

 

George Hall, Opera News

 

« Gabrielle Philiponet se révèle idéale dans le rôle de Lalla-Roukh – qui entame la fantaisie visuelle inventive de la soirée en Leila O’Rourke, dirigeant un magasin de thé – sa soprano de haut vol pleine de chaleur et de charme. »

 

« Gabrielle Philiponet proves ideal as Lalla-Roukh – who begins the evening’s inventive visual fantasy as Leila O’Rourke, running a tea emporium – her high-flying soprano full of warmth and charm. »

 

George Hall, The Stage

 

« Au début du premier acte, Lalla-Roukh exprime ses inquiétudes face au voyage vers l'inconnu qui l'attend, "Sous le feuillage sombre", et au début du deuxième acte elle déplore avec émotion son chagrin de vouloir épouser le poète et pas le roi, "O nuit d'amour". Gabrielle Philiponet inspire dans le rôle-titre avec une soprano chaude et ronde, qui possède un registre médium merveilleusement puissant et souligne ainsi l'intensité de ses sentiments. Il y a aussi un merveilleux duo avec sa bonne au deuxième acte, "Loin du bruit, loin du monde", dans lequel Mirza tente de réconforter sa maîtresse. La riche mezzo-soprano de Niamh O'Sullivan et la riche soprano de Philiponet trouvent une intimité émouvante. »

 

« Zu Beginn des ersten Aktes äußert Lalla-Roukh ihre Sorgen vor der bevorstehenden Reise ins Ungewisse, "Sous le feuillage sombre", und am Anfang des zweiten Aktes beklagt sie herzzerreißend ihr Leid, weil sie den Dichter und nicht den König heiraten möchte, "O nuit d'amour". Gabrielle Philiponet begeistert dabei in der Titelpartie mit warmem, rundem Sopran, der eine wunderbar kraftvolle Mittellage besitzt und damit die Intensität ihrer Gefühle unterstreicht. Hinzu kommt ein wunderbares Duett mit ihrer Kammerzofe im zweiten Akt, "Loin du bruit, loin du monde", in dem Mirza ihre Herrin zu trösten versucht. Niamh O'Sullivans satter Mezzosopran und Philiponets voller Sopran finden dabei zu einer bewegenden Innigkeit. »

 

Thomas Molke, OMM.de

 

« Gabrielle Philiponet a fait un Lalla-Roukh fougueux. Pas de canari colorature, à la place, nous avons eu de belles arias amoureuses montrant ses registres moyens doux, un sens déterminé de suivre son propre chemin (y compris brandir une épée pendant une grande partie de la soirée) et une délicieuse tendance à dire non. Dans l'ensemble, Philiponet a fait une héroïne des plus attrayantes, et une qui semblait remarquablement moderne mais complètement fidèle à la musique de David. Et ravissant de le faire chanter par un francophone natif (le seul de la distribution, hélas). »

 

« Gabrielle Philiponet made a feisty Lalla-Roukh. No coloratura canary she, instead we had some lovely love-lorn arias showing her mellow middle registers, a determined sense of getting her own way (including wielding a sword for much of the evening) and a delightful tendency to say no. In all, Philiponet made a most appealing heroine, and one who seemed remarkably modern yet completely true to David's music. And lovely to have it sung by a native French speaker (the only one in the cast, alas). »

 

Planet Hugill

 

« Gabrielle Philiponet, remarquable soprano lyrique française au grave puissant, était la tête d'affiche de la distribution. C'était une belle et expressive Lalla Roukh qui jouait le conte dans le conte de manière convaincante. »

 

« Gabrielle Philiponet, an outstanding French lyric soprano with a powerful lower register, headlined the cast. She was a beautiful and expressive Lalla Roukh who acted the tale within the tale convincingly. »

 

Clive Barda, Donizetti Society

 

« Heureusement, le chant était d'un caractère à la hauteur, avec des performances remarquables de la soprano française de haut vol Gabrielle Philiponet dans le rôle-titre »

 

« Happily the singing was of a character to match, with standout performances from high-flying French soprano Gabrielle Philiponet in the title role »

 

Michael Dervan, the Irish times

 

 

Mireille, Gounod, Opéra de Metz 2022

 

« C'est d'abord le rôle-titre qui soulève l'enthousiasme : la Mireille de Gabrielle Philiponet est tout simplement idéale, frémissante, élégiaque, au caractère fort et affirmé. L'aboutissement est tout autant vocal : rieuse, enjouée lors du duo du second acte avec Vincent, nostalgique, lyrique dans l'air du IV (« Heureux, petit berger»), d'un aplomb et d'une assurance remarquable lors de la redoutable traversée de la Crau. Un portrait merveilleusement abouti, qui conforte l'orientation prise par la cantatrice vers des rôles de plus en plus lourds et dramatiques...» 


« It is first of all the title role that arouses enthusiasm: Mireille by Gabrielle Philiponet is quite simply ideal, quivering, elegiac, with a strong and assertive character. The culmination is just as vocal: laughing, playful during the duet of the second act with Vincent, nostalgic, lyrical in the aria of the IV («Heureux, petit berger»), with remarkable poise and assertiveness during the formidable crossing of the Crau. A wonderful accomplished portrait, which confirms the orientation taken by the singer towards increasingly heavy and dramatic roles...»


Emmanuel Andrieu, Opera-Online

 

« Gabrielle Philiponet s'empare du rôle-titre [...] d'une voix douce et soyeuse dans le registre médian, plus cuivrée dans l'aigu, toujours vibrante. Elle tire de son phrasé une noblesse en phase avec son personnage. Bien plus que la voix soit un peu épaisse pour la première partie, elle parvient globalement à se tirer de la difficulté de ce rôle, assez léger au début, mais évoluant vers des lignes plus dramatiques au fil de l'œuvre. »

 

«Gabrielle Philiponet takes over the title role [...] of a soft and silky voice in the middle register, more brassy in the treble, always vibrant. She draws from her phrasing a nobility matching her character. Although her voice is quite heavy for the first part, she generally overcomes the difficulty of this role, quite light at the beginning, but evolving towards more lines as the work progresses. »

 

Damien Dutilleul, Olyrix

 

«Dans le rôle écrasant de Mireille, Gabrielle Philiponet réussit le pari de répondre aux exigences vocales et scéniques attendues d'un soprano lyrique-léger en début d'ouvrage, franchement dramatique à partir du quatrième acte. Naturellement fraîche et légère dans les deux duos, affichant des vocalises tout à fait virtuoses à la fin de «Trahir Vincent», la voix possède toute la robustesse nécessaire aux grands ensembles des actes 2 et 4, et se tire sans dommage du redoutable air de la Crau. Une belle performance, vocale et scénique, qui devrait compter dans l'évolution de la carrière de la jeune soprano.» 


«In the overwhelming role of Mireille, Gabrielle Philiponet succeeds in meeting the vocal and scenic requirements expected of a lyric-light soprano at the start of the work, frankly dramatic from the fourth act on. Naturally fresh and light in the two duets, displaying quite virtuosic coloraturas at the end of « Trahir Vincent », the voice has qll the necessary robustness for the large ensembles of act 2 and 4, and tackles without damage the formidable air of the Crau. A great performance, vocal and stage wise, which should count in the young soprano's career.»

 

Pierre Degott, Resmusica 

 

« Les exigences vocales et dramatiques interdisent l'emploi de très jeunes chanteurs. Encor faut-il que la fraîcheur, la spontanéité juvénile soient  traduites efficacement. Gabrielle Philiponet et Julien Dran répondent fort bien à ces critères. Le rôle de l'héroïne est exigeant par la variété et la diversité des expressions, il relève autant du soprano léger (« Le ciel rayonne, l'oiseau chante») que du soprano dramatique dans les scènes finales. Au caractère bien trempé malgré sa jeunesse, cette Mireille nous touche dès son entrée et son premier duo avec Vincent, la chanson diolaguée de Magali, «Trahir Vincent», résolu et exalté, particulièrement dans sa vaine supplique auprès de son père. Son jeu est aussi convainquant que son chant. »

 

« Vocal and dramatic requirements usually prohibit very young singers to be cast in the role. It is still necessary that the freshness, the youthful spontaneity be translated effectively. Gabrielle Philiponet and Julien Dran meet these criteria very well. The role of the heroine is demanding by the variety and diversity of expressions, it is as much a light soprano (« Le ciel rayonne, l'oiseau chante» ) as a dramatic soprano in the final scenes. With a strong character despite her youth, this Mireille touches us as soon as she enters and in her first duet wth Vincent, Magali's dialogue song, «Trahir Vincent», resolute and exalted, particularly in the vain plea to her father. Her playing is as convincing as her singing.»

 

Yvan Beuvard, Forum Opera 

 

« Enfin, dans le rôle difficile et éprouvant de Mireille, Gabrielle Philiponet remporte un très beau succès personnel. Sa maîtrise technique lui permet d'affronter avec succès les difficiles écarts et les vocalises par lesquels s'achève «À toi mon âme». La voix est suffisamment ample pour venir à bout des larges phrases du final (« Sainte ivresse ! Divine extase ! »), et de la redoutable scène de la Crau, interprétée de façon poignante. Et surtout, le chant est constamment empreint d'émotion, avec notamment une scène 10 de l'acte II vraiment touchante : « À vos pieds, hélas, me voilà» … »

« Finally, in the difficult and trying role of Mireille, Gabrielle Philiponet achieves great personal success. Her technical mastery allows her to successfully face the difficult jumps and coloraturas of « À toi mon âme». The voice is large enough to overcome the broad phrases of the finale (« Sainte ivresse ! Divine extase ! »), and the formidable scene of La Crau, interpreted in a poignant way. And above all, the singing is constantly imbued with emotion, not the least with the really touching scene 10 of Act II : « À vos pieds, hélas, me voilà»…»

 

Stéphane Lelièvre, Première Loge

 

« Gabrielle Philiponet s'attaque crânement à ce rôle long et difficile, auquel manque helas l'air «Heureux, petit berger» à la Crau. La soprano dispose d'atouts importants pour incarner l'héroïne complexe de Gounod : une virtuosité aisée pour la fin de «Trahir Vincent ! », un beau lyrisme porté par la lumière de son timbre pour le magnifique duo du deuxième acte avec Vincent, (splendide « Ah, c'Vincent ! »), et des ressources suffisantes pour l'air terrible de la Crau (« En marche, en marche, ainsi que Maguelonne»). Elle incarne une Mireille très crédible dans ses sentiments et sa ténacité dans l'adversité, résiste plutôt bien à la t'entêtons du fortissimo

 

« Gabrielle Philiponet bravely tackles this long and difficult role, which unfortunately lacks the air «Heureux, petit berger» at La Crau. The soprano has important assets to embody the complex heroine of Gounod : a virtuosic ease for the end of «Trahir Vincent», a beautiful lyricism carried by the brightness of her timbre for the magnificent duet of the second act with Vincent, (splendid «Ah, c'Vincent ! »), and the sufficient resources for the terrible air of La Crau (« En marche, en marche, ainsi que Maguelonne»). She embodies a very believable Mireille in the feelings and the tenacity she shows adversity, and resists the temptation of singing fortissimo rather well. »


Philippe Manoli, Concerto.Net 

 

«Gabrielle Philiponet incarne une fort jolie Mireille, qui garde tout son charme, aussi bien dans les passages légers que dans le crucifiant tableau de la Crau, qui semble ne lui poser aucun problème, que ce soit en termes de puissance ou de fougue.»

 

« Gabrielle Philiponet embodies a very pretty Mireille, who remains charming both in the light passages and in the crucifying picture of La Crau, which seems to pose no problem to her, whether in terms of power or ardor. »

 

Catherine Scholler, Opéra Magazine 

 

​« Gabrielle Philiponet - Mireille asumió la parte más dura de la vêla dans ; estuvo présente constantemente ( o casi) en el escenario e interpretó con arte y cienca l'os múltiples estados anímicos de la protagonista. Logró transformar a una joven ingenuamente enamorada sin tener en cuenta los muros sociales del lugar y de la época ( Fourny no se equivocó al mantener el espacio y el tiempo dictados por los autores) en un personaje trágico y capaz de afrontar situaciones extremas. Una transición vocal y dramática, expuesta y dificil, bien lograda por la soprano con voz firme, de agudos brillantes, timbre atractivo y constante y perfecta prosodia francesa. »

 

« Gabrielle Philiponet - Mireille - à assumé le plus dur de la soirée ; Elle était constamment (ou presque) présente sur scène et interprétait avec art et science les multiples états d'esprit de la protagoniste. Elle réussit à transformer une jeune femme naïvement amoureuse sans tenir compte des barrières sociales de la région et de l'époque ( Fourny n'a pas eu tort de garder l'espace et le temps dictés par les auteurs) en un personnage tragique capable d'affronter des situations extrêmes. Une transition vocale et dramatique, exposée et difficile, bien réalisée par la soprano avec une voix ferme, des aigus brillants, un timbre attrayant et constant, et une prosodie française parfaite. »


« Gabrielle Philiponet - Mireille - took on the hardest role of the evening ; she was constantly (almost) present on stage and interpreted with art and science the multiple states of mind of the protagonist. She manages to transform a young woman naively in love without taking into account social walls of the place and the time ( Fourny was not wrong to keep the space and time dictated by the authors) into a tragic character capable of facing extreme situations. A vocal and dramatic transition, exposed and difficult is well achieved by the soprano with a firm voice, brilliant treble, attractive and constant timbre and perfect french prosody. »

 

Jaume Estapà, Opera Actual 

 

 

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